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Avant propos 
Qu’est ce qu’on entend par «  les consistances
  d’une épreuve d’examen »   
L’élaboration des épreuves d’examen nécessite un
  référent qui détermine la nature de l’épreuve, et qui précise ses objectifs
  opérationnels, les capacités à évaluer, la nature du contenu, le nombre de
  questions, la durée, le coefficient, le barème de correction… | 
Nous avons voulu faire de ce blog un espace pour accueillir des témoignages à propos de l’école tunisienne et pour évoquer les défis présents et futurs de l’éducation en Tunisie
lundi 29 juin 2015
l’épreuve de langue française au baccalauréat tunisien
lundi 22 juin 2015
Problématique de l’évaluation des dissertations au baccalauréat
L’évaluation de la production écrite de
type dissertation (philosophique, littéraire ou en histoire géographie…) soulève beaucoup de
questionnements dont le plus frappant est celui de l’écart entre les correcteurs ;
cet écart, confirmé par plusieurs recherches, traduit en réalité des
conceptions et des représentations différentes entre les correcteurs ; en
schématisant à l’extrême, on pourrait distinguer deux grandes catégories de
correcteurs :
lundi 15 juin 2015
L’épreuve de littérature et de civilisation arabe au baccalauréat tunisien
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Avant
  propos 
Qu’est ce qu’on entend par «  les
  consistances d’une épreuve d’examen »   
Ce sont  les   référents qui déterminent la nature de l’épreuve, et qui précisent ses objectifs
  opérationnels, les capacités à évaluer, la nature du contenu, le nombre de questions,
  la durée, le coefficient, le barème de correction… | 
lundi 8 juin 2015
Les épreuves du baccalauréat tunisien depuis 1976
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«  les
  examens externes, organisés à un échelon plus étendu que celui de
  l’établissement ou de la classe, et dans lesquels les professeurs ne notent
  pas leurs propres élèves , ont d’abord été conçus pour permettre une
  comparaison plus valable de candidats d’origine différente que ne le
  permettaient les appréciations portées sur eux par leurs maîtres. Plusieurs
  conditions favorables à l’objectivité des notations s’y trouvent
  réunies : situation d’examen identique, sujets communs, correction
  assurée par des examinateurs qui ne connaissent pas les candidats afin que
  seul le niveau de formation atteint par l’élève détermine l’appréciation
  portée sur lui . » 
 traité de docimologie, T6 , édition Maurice
  Reuchlin, p 38 | 
Pourquoi 1976 ?
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