lundi 29 juin 2015

l’épreuve de langue française au baccalauréat tunisien


Avant propos
Qu’est ce qu’on entend par «  les consistances d’une épreuve d’examen » 
L’élaboration des épreuves d’examen nécessite un référent qui détermine la nature de l’épreuve, et qui précise ses objectifs opérationnels, les capacités à évaluer, la nature du contenu, le nombre de questions, la durée, le coefficient, le barème de correction…

Les consistances permettent d’unifier le cadre de référence (certains diront le référentiel ou les termes de références), pour toutes les parties concernées : les candidats, les commissions d’élaboration des sujets, les enseignants qui préparent les élèves, et ceux qui sont appelés à évaluer et à corriger les copies.
Dans la littérature pédagogique, on rencontre plusieurs termes pour parler de ce référentiel[1] ; il change d’un pays à un autre, et d’une époque à l’autre ; on rencontre le concept de consistance[2] de l’épreuve, ou de contenu de l’épreuve, ou de nature de l’épreuve …
Qui prépare les consistances ?
La responsabilité de la préparation des consistances des épreuves du baccalauréat tunisien est du ressort de la direction chargée des programmes et des manuels scolaires, car les consistances sont considérées comme une partie intrinsèque du curriculum scolaire qui comprend les objectifs, les contenus, les capacités à évaluer chez les élèves, l’horaire, les différentes activités d’apprentissage et d’enseignement et l’évaluation des apprentissages.  
Cette option permet de garantir la cohérence entre toutes les composantes du curriculum scolaire et d’informer les enseignants, les élèves et les parents sur les moyens qui sont prévus pour évaluer les compétences , les capacités et les savoirs faire des élèves, soit en cours d’apprentissage ou à la fin du cycle et surtout à l’unique examen national comme le baccalauréat.
Dans le faits, l’élaboration des consistances des épreuves est une tâche à la charge des inspecteurs, selon les spécialités, en coordination étroite entre la direction des programmes et la direction des examens ; les consistances   dépendent de plusieurs facteurs, dont :
-     La place et le poids de l’épreuve dans la section ( matières spécifiques ou matières optionnelles), la durée de l’épreuve, son coefficient…c’est la raison pour laquelle on trouve pour la même matière une ou plusieurs consistances, comme c’est le cas pour la philosophie ou l’arabe, où on trouve des consistances réservées à la section lettres et d’autres pour les sections scientifiques et techniques.
-     Les directives relatives aux contenus des programmes et aux méthodes d’enseignement appliquées par la discipline, afin d’assurer la cohérence entre ces dernières et les outils d’évaluation

Les consistances, Pourquoi ? 
Les consistances des épreuves jouent un rôle important dans l’évaluation car :
-     elles sont le garant de l’unité de l’apprentissage et de l’évaluation ; l’évaluation se met au service de l’apprentissage et elle n’est pas une activité à part.
-     elles sont aussi la référence, en cas de litige ou de désaccord à propos de l’évaluation des apprentissages et des acquis des élèves.
Les consistances  sont , habituellement, publiées au journal officiel de la république tunisienne  avec l’arrêté d’organisation du baccalauréat soit intégrées dans le texte même soit sous la forme d’annexes ; mais depuis 1992 , l’article 7 de l’arrêté d’organisation avait stipulé que les consistances des épreuves feront  désormais l’objet d’un arrêté séparé[3] ; la dernière version publiée remonte à 1994 ( arrêté du 30 avril) [4], car depuis les consistances sont publiées dans un fascicule ( un document interne) 
Pour étudier ces consistances, nous avons opté pour le choix de quelques disciplines parmi les langues, les sciences sociales, et les sciences exactes. 
Rappel
Au début de l’indépendance, les études secondaires duraient six ans, et étaient couronnées par deux examens nationaux:
Le premier, appelé « examen de la première partie du baccalauréat », se tenait  à la fin de la cinquième année en deux sessions, l’une au mois de juin et l’autre au mois d’octobre, (à cette époque la rentrée scolaire était fixée au 1er octobre).Cet examen comportait des épreuves écrites et des épreuves orales ; ces dernières ont été supprimées en 1963.
Le deuxième, appelé « examen de la deuxième partie du baccalauréat, puis  examen probatoire [5]», se passe  à la fin de la sixième année en deux sessions aussi et il comportait des épreuves écrites, pratiques et orales pour les candidats admissibles (l’oral est abandonné à partir de la session de juin 1976).


Cette note s’intéresse à l’histoire de la langue française à l’examen du baccalauréat, de 1957 (date du premier baccalauréat après l’indépendance),  jusqu’en 2008, date de la dernière réforme du régime du baccalauréat ; au cours de cette longue histoire, on peut distinguer trois périodes : la première de 1957 à 1975 était marquée par la présence d’une épreuve de langue française dans la première partie ou l’examen probatoire , au cours de la deuxième période
(1976 - 1991), la langue française est intégrée parmi les épreuves du baccalauréat, mais en tant que matière optionnelle, au début pour les candidat de la section «  Lettres », puis elle est généralisée pour tous les candidats ;  avec la troisième période ( 1992 - 2008),  la langue française change de statut et devient une matière obligatoire pour tous les candidats.  
I.      La période 1957[6]- 1974
1.    Le statut de la langue française
§  A l’aube de l’indépendance , la présence de la langue française se limitait aux épreuves écrites et orales de la première partie du baccalauréat pour les candidats de la série « Lettres » et de la série  « Sciences », alors que les candidats de la section Technique  ne passent qu’une épreuve orale. 
§  Dès 1963[7], l’épreuve écrite de français est généralisée à  l’examen du probatoire pour toutes les séries, et une épreuve orale est introduite à l’examen du baccalauréat, suite à la suppression de l’oral au probatoire.
§  En 1970 , avec la suppression de l’examen probatoire, la langue française disparait complètement de la liste  des épreuves écrites du baccalauréat et elle ne subsiste qu’à l’oral pour les candidats des deux sections « philosophie - Lettres classiques , et Lettres modernes ».
Tableau des horaires et des coefficients de l’épreuve de français à la 1ère partie

1957
1963
1970
série
écrit
Probatoire
oral
 Probatoire écrit
oral baccalauréat
durée
coef
coef
série
durée
coef
coef
lettres
3
3
1,5
L . classiques
3
3
1
sciences
2
2
1
L. modernes
3
4
1
Technique


2
technique mathématiques
3
2





sciences
3
2





mathématiques
3
2





sciences  économiques
3
2


2.      La consistance de l’épreuve
§  D’après l’arrêté de 1957[8], l’épreuve écrite  de langue  française à la 1ère partie consiste en « une rédaction sur une question de littérature et de civilisation françaises » ; Quant à l’épreuve orale , elle consistait en   «  une explication de texte suivie de questions relatives à la littérature et à la civilisation française .»  
 Nous remarquons une similitude avec l’épreuve d’arabe, puisque les deux épreuves portent sur des questions de littérature et de civilisation et appartiennent au même genre (la dissertation) ; ceci s’explique par le fait que la langue française était enseignée en tant que langue de littérature et de civilisation ;elle était aussi la langue d’enseignement des sciences exactes et des sciences humaines et sociales ( géographie, philosophie, économie…) .

§  L’arrêté de 1963[9] a modifié les consistances de l’épreuve de langue française ; elle est devenue, pour toutes les séries, « une composition portant sur un sujet de caractère général en rapport avec le programme de 5ème année et ayant trait la littérature et à la civilisation française, il sera proposé  trois sujets dont l’un au moins sera un commentaire de texte suivi de questions , tout candidat doit traiter, au choix, l’un de ces sujets ; pour les candidats issus de la 5ème année de la section « A »[10] l’épreuve consistera en l’étude d’un texte choisi dans le programme de 5ème année, le texte …sera suivi de questions relatives notamment à la grammaire et aux idées , l’une des questions sera de nature à amener le candidat à composer un paragraphe d’une quinzaine de lignes permettant d’apprécier ses capacités de s’exprimer en français, il sera proposé à ces candidats un seul sujet  »  
§  L’arrêté de 1970 a fixé la nature de l’épreuve orale en langue française pour les candidats au baccalauréat  des sections philo - lettres, dans des termes précis ; il s’agit de  «  d’une explication de textes tirés des auteurs étudiés en 6ème année , il sera posé des questions qui seront l’occasion d’une conversation très large où l’on appréciera la langue, les qualités de réflexion et les connaissances du candidat ».
II.   La période de 1976 à 1991
1.    Le statut de la langue française
Dès la session de 1976[11],  le baccalauréat a connu  une nouvelle organisation : (instauration d’une session unique suivie d’épreuves de contrôle, la suppression  des épreuves orales,  et l’introduction des matières à option, réduction  du nombre de sections ou de séries  à  trois au lieu des cinq sections précédemment,  la section « lettres »,  la section  « Mathématiques -Sciences » et  la section « Mathématiques - techniques ».[12] )
La nouvelle organisation a eu un effet négatif sur le statut de la langue française au bac ; elle a disparu des épreuves des sections scientifiques et techniques, et elle s’est maintenue dans le bac « lettres », mais en tant que matière à option ( une épreuve de 2 h et un coefficient 1) ; en 1988 [13] , la langue française est généralisée en tant que matière à option pour tous les candidats , alors que c’était une épreuve obligatoire pour tous les candidats même ceux qui arrivent de la section  « A » .
Tableau 3 : horaire et coefficient de l’épreuve de français entre 1976 et 1991
1988-1991
1976 - 1987
Séries ou sections
durée
coefficient
durée
coefficient
2
1
2
1
Lettres


sciences économiques *


mathématiques- sciences **


mathématiques- techniques

* cette section a disparu en 1979, la  dernière promotion est sortie à la session 1978, elle renaitra en 1992 sous le nom d’économie et gestion.
** cette section s’est scindée en deux spécialités  qui sont les mathématiques et les sciences expérimentales.  
2.    La consistance de l’épreuve
La consistance de l’épreuve de français fut profondément modifiée ; la nouvelle a abandonné les genres habituels ( la dissertation littéraire et le commentaire de texte littéraire ) ; l’épreuve consiste en « une étude de texte suivie de questions permettant :
- d’évaluer le degré de compréhension (contenu du message, la démarche de l’auteur…)
- d’analyser certains procédés d’écriture,
- d’exprimer un jugement personnel motivé »
ces consistances ont été  modifiées  en 1991[14]  au niveau de la forme surtout (plus de précision), sans toucher le fond ; la nouvelle formulation précisa que l’épreuve est «  une étude de texte littéraire comptant trois questions :
a.     Compréhension permettant d’évaluer les compétences :
- à dégager des informations et à rendre compte ( activités de repérage, de sélection, de classification, d’analyse et de synthèse)
- reconnaitre et analyser des procédés d’écriture et rendre compte de leurs finalités
b.    Grammaire, questions permettant d’évaluer les compétences des candidats à :
- reconnaitre et analyser des faits grammaticaux figurant dans le texte et en rapport avec les leçons de grammaire au programme
- réaliser des applications en rapport avec les leçons de grammaire au programme
c.     Essai : questions permettant d’évaluer des compétences des candidats à exprimer un jugement personnel et à argumenter sur un sujet en relation avec le contenu du texte.
Cette évolution s’explique par la politique d’arabisation entamée dès le début des années soixante dix : (arabisation de la philosophie ,de la géographie et de l’histoire, ce qui n’a pas manqué d’affecter négativement le niveau de maitrise de la langue française par les lycéens, bien que l’enseignement des disciplines scientifique et techniques continue à être assuré en français ; d’ailleurs, plusieurs voix  d’universitaires n’ont pas manqué d’attirer l’attention sur les risques de cette politique.
La langue française est passée d’une langue de littérature et de civilisation  et du statut d’une première langue au statut d’une langue fonctionnelle dont le rôle est de permettre la communication et l’apprentissage des sciences et des techniques. Ce changement de statut a nécessité un changement des programmes et des manuels scolaires ;l’étude  de la littérature et  l’œuvre des grands auteurs français a cédé la place à des thèmes généralistes ( culturels , économiques et sociaux), comme la pollution, l’émigration, la faim dans le monde , le racisme   …  Les supports d’étude sont puisés dans la presse ou choisis parmi des textes courts et simples au dépens des textes littéraires d’auteurs confirmés.
III.                      La période de 1991 (la deuxième réforme éducative)  à 2008( la dernière réforme du bac)
1.    La place du français
Cette troisième période qui commença en 1992[15] fut marquée par un important changement pour la langue française qui devient une épreuve obligatoire pour tous les candidats du bac avec un coefficient 2  dans les sections « lettres et économie et gestion », et le coefficient 1 pour les autres sections.
En 1995,[16] l’épreuve de français intègre la session de contrôle ( le candidat ajourné avait le choix de repasser l’épreuve de français ou l’épreuve d’anglais) ; en 2001, le candidat ajourné pouvait passer les deux langues[17].
Donc, depuis cette date la langue française est présente dans les épreuves obligatoires de la session principale et de la session de contrôle de toutes les sections, y compris les nouvelles sections (sport dès 2004 et les sciences informatiques depuis 2008), avec le coefficient 2 pour la section « Lettres », et le coefficient 1 pour les autres ; l’épreuve durait deux heures avec des sujets différents.
2.    La consistance de l’épreuve
Le  changement de statut n’a pas eu d’impact sur le fond de la consistance de l’épreuve ; c’est au niveau de la forme ( formulation et présentation) que les choses ont beaucoup évolué depuis 2008[18] ; la consistance a précisé les caractéristiques des textes supports et la nature  et le nombre de  questions qui  doivent l’accompagner,  ainsi que les règles à respecter en rédigeant le sujet de l’essai ; son énoncé «  doit comprendre : 1- une assertion ou une citation, 2- une phrase permettant de préciser la problématique et de suggérer les grandes lignes du développement,3-  une consigne précisant le type de texte à produire et indiquer le volume ( une trentaine de lignes pour la section lettres , 20 pour la section techniques et 25 pour les autres sections) .»
L’épreuve est désormais composée de deux parties : une étude de texte (moitié des points) et un essai ( moitié des points) .
L’étude de texte  est accompagné de 2 à 3 questions pour la compréhension ( 7 à 6 points selon les sections) et de 2 à 3 questions de langue et de vocabulaire ( 3 à 4 points selon les sections).
L’essai « doit  permettre d’évaluer l’aptitude du candidat à rédiger un texte structuré et cohérent pour exprimer un point de vue personnel argumenté sur un sujet … en rapport avec la thématique du texte »

barème
lettres
sciences  techniques
les autres sections
1- étude de texte
10 points
10 points
10 points
compréhension
3 questions sur 6 pts
2 ou 3 questions sur 7 pts
2 ou 3 questions sur 7 pts
langue
2à3questions sur 4 pts
2  questions sur 3 pts
2  questions  sur 3 pts
2 - Essai
10 points
10 points
10 points
compréhension du sujet
4
5
4
cohérence du développement et pertinence des arguments
4
3
4
correction linguistique
2
2
2

Conclusion
Nous voulons en guise de conclusions faire  deux  remarques :
La première concerne la forme qui a connu une nette amélioration qui fait des consistances de l’épreuve de français parmi  les mieux confectionnées des consistances.
La présentation de  trois sujets différents ( un pour la section « lettres »,un pour la section « sciences techniques » et un troisième pour les sections sciences expérimentales, mathématiques, sciences informatiques, et économie et gestion) ne nous parait pas justifiée.  

Hédi bouhouch & Mongi Akrout
Tunis , Juin 2015

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[1] Termes de référence (Cahier des charges) : Document écrit présentant le but et le champ de l’évaluation, les méthodes à utiliser, les références permettant d’apprécier la performance ou de conduire les analyses, les ressources et le temps nécessaires, ainsi que les conditions de présentation des résultats, une autre expression parfois utilisée avec la   même signification est le « mandat »
Glossaire des principaux termes relatifs à l’évaluation et la gestion axée sur les résultats. http://www.reflectlearn.org/fr/glossary/term/587
[2]  Le terme consistance intègre plusieurs concepts comme la cohérence, la solidité, le poids de quelques chose, qui a du crédit, de la considération. Quelque chose consiste à désigner une chose divisible, considérée dans ses parties constitutives] Être formé, constitué par (certains éléments).  Comporter, se composer (de), comprendre … http://www.cnrtl.fr/definition/consister - http://www.cnrtl.fr/definition/consistance


[3]  Voir arrêté du 24 juin 1992

[4] arrêté du 30 juin 1994 relatifs aux contenus des épreuves du baccalauréats ,   et l’arrêté du 28 mars  1996 qui  l’a  modifié
[5]  L’examen probatoire est supprimé en 1970 et remplacé par un examen de passage  normal  :  art 3 ( nouveau : nul ne peut se présenter aux épreuves de l’examen du baccalauréat … s’il n’a pas subi avec succès les épreuves de l’examen de passage de la 5ème à la 6ème année),  Arrêté du ministre de l’éducation,  de la jeunesse et du sport  du 14 avril 1970  modifiant l’arrêté  du secrétaire d’état à l’éducation nationale  du 1 avril 1963 relatif à l’examen du baccalauréat de l’enseignement secondaire.

[6] Décret du premier ministre, président du conseil  du 17 avril 1957, instituant un nouvel examen dit  «  Baccalauréat  de l’enseignement secondaire, jort n° 32 du 19 avril 1957 .

[7] Arrêté  du secrétaire d’état à l’éducation nationale  du 1 avril 1963 relatif à l’examen du baccalauréat de l’enseignement secondaire. jort n° 16  du   2 avril 1963

[8] Arrêté du Ministre  de l’éducation nationale en date du 17 avril 1957  relatif à l’organisation du baccalauréat de l’enseignement secondaire , jort n° 32 du 19 avril 1957

[9] Arrêté  du secrétaire d’état à l’éducation nationale  du 1 avril 1963 relatif à l’examen du baccalauréat de l’enseignement secondaire. jort n° 16  du   2 avril 1963

           [11] Le nouveau régime du baccalauréat  a été institué par une simple circulaire (la circulaire de la  direction de l’enseignement secondaire n° 239   du 3 décembre 1975 , « les principaux réaménagements  étaient : l’instauration à partir de 1975 - 1976 d’une session unique suivie d’ épreuves de contrôle et par la suppression des épreuves orales, l’introduction des matières à option et la réduction du nombre de sections au bac à 4 au lieu de 6 , il s’agit des sections  math-sciences,  math- technique, lettres et sciences économiques.
[12]  Cette nouvelle configuration remonte à 1972 , suite à la fusion des deux anciennes séries «  philosophie lettres classiques et lettres modernes »  dans une seule série appelée la série   «  Lettres » et la fusion de la série sciences et la série Mathématiques en une seule série «  la série Mathématiques et Sciences, et le changement de nom pour l’ancienne série technique mathématiques qui s’appelle désormais la série Mathématiques technique , en fin la série économique disparait.
[13] Arrêté du  ministre  de l’éducation  nationale  du 27 aout 1988  modifiant  l’arrêté du  ministre  de l’éducation  nationale  du 16 avril 1981 relatif à l’examen du baccalauréat de l’enseignement secondaire  , jort n° 60 du 13 septembre 1988

[14] Arrêté du ministre de ‘éducation et des sciences  du 23 mars 1991 modifiant l’arrêté du 27 aout 1988 relatif au baccalauréat de l’enseignement secondaire, jort n° 24  du 5 - 9 avril 1991

[15] Arrêté du Ministre de l’éducation et des sciences  du 24 juin 1992 relatif à l’examen du baccalauréat. JORT n° 41 du 26 juin 1992

[16] Arrêté du ministre de l‘éducation du 14 février 1995  modifiant  l’aarrêté du Ministre de l’éducation et des sciences  du 24 juin 1992 relatif à l’examen du baccalauréat, jort n° 15   du 21   février 1995

[17] Arrêté du ministre de l‘éducation du 2  Novembre 2002  relatif au régime du  baccalauréat de l’enseignement secondaire modifiant  l’arrêté du Ministre de l’éducation et des sciences  du 24 juin 1992 relatif à l’examen du baccalauréat et l’arrêté du 18 oct 2000., jort n° 2   du 4  janvier 2002

[18] Les consistances de 2008  ont été publiées dans un livret  de 58 pages par la direction générale des programmes et de la formation continue  et la direction générale des examens, sous le titre : les épreuves de l’examen du baccalauréat, la quatrième année de l’enseignement secondaire, nouveau régime, année scolaire 2007-2008

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