dimanche 17 novembre 2024

Evaluation des stratégies des élèves face aux contraintes scolaires

 


 

Mustapha Chikh Zaoual

Le blog pédagogique a le plaisir de présenter à ses fidèles lectrices et lecteurs, une étude réalisée par M° Mustapha Chikh Zaouali ,  il s'agit d'une Communication présentée  lors d'un colloque international sur  « l’évaluation des systèmes et des processus d’enseignement apprentissage » organisé par l’ISEFC de l’Université de Tunis, le Département des sciences de l’éducation de l’Université d’Aix en Provence et  l’Association Tunisienne des Etudes Didactiques (ATED), Tunis, 1-2-3 novembre 2001.


M° Zaouali traite dans cette étude une question très  brulante qui se rapporte aux  comportements des élèves face à certaines contraintes du milieu scolaire. Elle  a été réalisée,  il y a plus de vingt ans, mais malgré cela, elle reste encore d'actualité.

Le blog pédagogique remercie  notre ami Mustapha pour  nous avoir permis de publier son étude et pour sa confiance.

 

Introduction

Une évaluation des contraintes scolaires vécues par les élèves et de leurs stratégies pour y faire face peut contribuer à une meilleure compréhension du fonctionnement du système éducatif. En effet, elle peut éclairer ceux qui ont à prendre des décisions concernant ce système, elle est également utile aux enseignants.

Nos questions de départ sont les suivantes : quelles sont les contraintes scolaires vécues par les élèves ? Comment font-ils face à ces contraintes ? Quelles stratégies adoptent-ils pour y faire face ?

Partant d’une approche microsociologique des faits éducatifs, nous émettons l’hypothèse que les élèves sont plus des acteurs sociaux producteurs de stratégies que des agents passifs subissant les contraintes scolaires.

1-LE CADRE  THEORIQUE

Notre recherche s’inscrit donc dans une approche microsociologique. Elle se réfère aux études récentes dans le domaine des sciences de l’éducation. Cette approche s’efforce d’aller de l’acteur au système, elle veut connaître la subjectivité des élèves, « …la manière dont ils vivent et construisent leur expérience scolaire » (DUBET,1991,p.15)

 

Une notion importante dans l’approche microsociologique est celle de stratégie. Selon François DUBET,  « l’élève occupe une position définie par des rôles, des règles de discipline, des modes de sélection;… Il est donc tenu de développer des stratégies d’adaptation et d’intégration, de calculer ses investissements scolaires, de gérer ses intérêts… ». (DUBET, 1991, p.31,32). A cela le même auteur ajoute que la notion de stratégie exprime la troisième dimension de l’expérience scolaire de l’élève (après celle du projet de l’élève et de la formation du sujet (DUBET,1991, p.28,29,30,31,32,33))

Dans cette recherche, nous adoptons la définition suivante du concept stratégies d’élèves : l’ensemble des intentions, des façons de pensées, des actions et des manœuvres menées par un élève pour subvenir à un besoin ou atteindre un but. Autrement dit c’est cette logique de l’élève qui se traduit par des attitudes, des choix et des comportements visant à optimiser sa performance dans une situation contraignante. Nous avons conçu cette définition en synthétisant de multiples définitions proposées par de nombreux auteurs. (DUBET, F.1991,p.28 ; LEGENDRE, R.1993,p.1184; CHIKH ZAOUALI, M.,1998,p.41,42,43)

 

Les stratégies importantes se manifestent lorsque le système scolaire est caractérisé par une organisation faible et une sélection forte[1] : « c’est la rencontre de ces deux caractéristiques qui explique le poids de la dimension stratégique de l’expérience scolaire » (DUBET,1991,p.32)

Dans ce contexte, les différentes règles formelles de la vie scolaire seront vécues par les élèves comme des contraintes scolaires. Philippe PERRENOUD(1995) parle de “ métier d’élève ”. Il compare les élèves aux prisonniers, aux militaires, aux travailleurs les plus démunis et tous ceux qui n’ont, pour se défendre contre le pouvoir de l’institution et de leurs chefs directs, guère d’autres moyens que la ruse, le repli sur soi et le faux-semblant.

De ce qui précède, nous pouvons définir les contraintes scolaires comme : l’ensemble des règles formelles, des rôles préétablis, des modes de fonctionnement et de contrôle, qui régissent l’institution scolaire et auxquels l’élève est soumis.

2- La recherche sur le terrain

2-1 La recueil des données

Les donnés de notre recherche proviennent de deux sources :

-du corpus de donnés que nous avons pu collecter au sein de Bureaux d’Ecoute et de Conseil (BEC)[2]. Notre étude s’est limitée à l’exploration d’une vingtaine d’entretiens individuels effectués auprès d’élèves appartenant à deux lycées de la région de Mahdia (au centre-est de la Tunisie). La sélection des entretiens a privilégié ceux qui nous ont parus les plus significatifs en matière de contraintes et de stratégies.

-Des témoignages que nous avons pu recueillir auprès d’élèves de la septième année de l’école de base(cette dernière se compose en Tunisie de 2 cycles : le premier est de 6ans, le second est de 3ans) à la région de Mahdia. Le recueil a été effectué durant le mois d’octobre 2001, à l’occasion de notre animation de séances d’information et de sensibilisation faisant partie de la campagne programmée par le ministère de l’éducation. Notre intervention a englobé 99 classes appartenant à 9 établissements et à raison d’une heure par classe, ce qui équivaut à peu près à 3500 élèves. Après la présentation de la séance, nous procédons par la mise en train psychologique, puis chaque élève se présente et répond à la question suivante: qu’est ce que tu préfères, le collège ou l’école primaire ?  Il peut ajouter, s’il le veut, d’une manière libre et inconditionnelle, une question ou une impression sur la vie scolaire au collège.

Nous n’avons pas construit notre échantillon d’enquête d’une manière systématique. En effet, nous avons eu recours au corpus de données dont nous disposions étant donné notre statut de conseiller en information et orientation scolaire et universitaire. Il ne faut dès lors pas généraliser tous les résultats à l’ensemble des élèves. Notre recherche se limite à l’exploration du terrain de l’investigation. Elle pourrait servir de base à d’autres recherches qui pourraient développer différents aspects de ce domaine.

2-2 Les résultats:

2-2-1  Les contraintes scolaires vécues par les élèves:

En évaluant les propos que nous avons recueillis auprès d’élèves de la septième année de l’école de base, nous constatons qu’ils illustrent bien ce que Philipe PERRENOUD(1995) appelle « le métier d’élève ». En effet, ces propos, mieux que ceux d’autres niveaux scolaires, pourraient témoigner des contraintes scolaires vécues par les élèves.

A la question : « qu’est ce que tu préfères l’école primaire ou le collège ? », presque la totalité des élèves interrogés a exprimé sa préférence pour l’école primaire. Cela était le cas pour les élèves au début de la campagne. A la fin du mois d’octobre, après plus d’un mois d’expérience de vie scolaire, les élèves attachés affectivement à l’école primaire représentent presque la moitié des élèves interrogés.

Venant du premier cycle de l’école de base, où le métier d’élève était relativement moins contraignant, les nouveaux collégiens ont exprimé d’une façon spontanée leurs interrogations sur les rôles, les modes de fonctionnement et les règles qui régissent la vie scolaire au collège. L’évaluation des données recueillies dégage globalement trois types de contraintes scolaires : les règles de discipline, les tâches scolaires et les relations éducatives.

2-2-1-1 les règles de discipline : 

C’est le point qui semble le plus préoccuper les élèves. C’est ainsi que dans les 99 classes visitées, presque tous ont manifesté leur préoccupation et leur  “ crainte ” des différents types de punitions adoptés au sein du collège. Les élèves nous ont questionnés sur des aspects tels que : l’avertissement, l’exclusion, la retenue, le renvoi, le conseil d’éducation… Pour ces nouveaux collégiens, les règles de disciplines sont considérées comme dures et sévères. Pour certains lycéens, ces règles sont considérées comme : «…loin de viser l’éducation des élèves, elles constituent plutôt des moyens de pouvoir aux mains des profs. et de l’administration… »

Il est possible que ces considérations soient en relation avec la réforme en cours du système disciplinaire scolaire tunisien. Car, depuis le début de l’année scolaire courante 2001-2002, ce système est l’objet d’une « concertation élargie » touchant l’ensemble des partenaires éducatifs et préparant sa réforme. Cette dernière aura pour finalité plus d’intégration des jeunes dans le système scolaire.

2-2-1-2 Les tâches scolaires :

Les élèves, sur lesquels a porté notre recherche(les lycéens mais surtout les collégiens) se sont plaints des tâches scolaires multiples qu’ils subissent. Nous pouvons définir les tâches scolaires comme tout ce qui doit être fait par les élèves dans un temps fixé, citons par exemple les épreuves de contrôles, les devoirs à la maison… Les propos suivants témoignent de l’importance du sentiment de contrainte que vivent les nouveaux collégiens à ce niveau :

-“Au collège, les emplois du temps sont lourds et trop chargés… ”

-“On n’arrive  pas à écrire toute la leçon dans le cahier, le prof dicte beaucoup trop et très vite… ”

-“Au primaire, nous avions une seule matière qui s’appelait “ récitation ”, au collège nous avons beaucoup de matières qui sont récitations ”

-“ Il y a beaucoup d’examens : des interrogations orales, des tests non annoncés à l’avance, des devoirs de contrôle, des devoirs de synthèse bref, des examens tous les jours ”.

Ces témoignages montrent bien l’ampleur des tâches scolaires exigées aux élèves et donnent l’impression que les enfants et les adolescents existent d’abord comme élèves. En ce sens PERRENOUD se demande : « que dit un adulte à un jeune qu’il connaît peu ? Il le questionne : “ ça va à l’école ? Es ce que tu travailles bien, est ce que tu es bon élève ? » (PERRENOUD,1995,p.13)

2-2-1-3 Les relations éducatives :

La contrainte relationnelle unit  les lycéens et les collégiens. Les premiers se sont montrés plus globaux dans leurs critiques des relations éducatives. Ils jugent la personnalité de l’éducateur sur diverses dimensions. Quant aux collégiens, ils ont évoqué avec beaucoup de nostalgie leurs relations avec les instituteurs, jugées pleines d’affection et remplacées au collège par des relations: «  sérieuses, froides, dures, sévères… » .   En voici quelques témoignages :

-« Pourquoi les profs n’écoutent-ils pas les élèves ? », « Pourquoi ne les pardonnent-ils pas facilement ? », « Pourquoi ne les aiment-ils pas ? »,  « Pourquoi ne les traitent-ils pas comme leurs propres enfants, comme c’était le cas avec l’instit..?», «Pourquoi ne nous laisse-t-on pas jouer dans le cours ? »...

Les relations qu’exige l’institution scolaire( collège et lycée) sont donc de type formel. PERRENOUD(1995) les trouve « …assez « bureaucratiques »…, chacun son rôle, son territoire, son métier. » (PERRENOUD,1995,p.15)

Par ailleurs nous avons constater, aussi bien chez les nouveaux collégiens que chez les nouveaux lycéens, « un ensemble confus de peurs »[3], comme la peur de l’inconnu , la peur du nouveau groupe, la peur d’un fonctionnement scolaire différent, la peur d’un grand changement annoncé par tous, la peur de se retrouver parmi les plus petits alors qu’on était devenu les plus grands.

 

2-2-2 les stratégies menées par les élèves

Face à la réalité des contraintes scolaires, les élèves construisent leurs propres réalités, ils produisent leurs propres sens sur les diverses situations contraignantes. A ce propos, l’étude du discours des élèves enquêtés confirme certaines idées assez répandues par des études microsociologiques. En effet, comme l’annonce Philipe PERRENOUD (1995), les élèves sont des acteurs qui « … développent une stratégie défensive minimaliste : investir le moins possible dans les activités proprement scolaires tout en cultivant des allures conformistes. Seules comptent la façade, l’apparence du travail, de l’attention et de la maîtrise: c’est à qui s’en tirera le mieux en s’investissant le moins, ce qui développe toute une série de savoir-faire comme la tricherie, l’utilisation discrète du travail d’autrui, la prise des risques calculés – par exemple n’apprendre que ci l’on risque d’être interrogé -, le bachotage intensif et absurde »(PERRENOUD,1995,p.31). Tout cela pour dire que les élèves adoptent «…les stratégies qui garantissent la survie et une certaine tranquillité,… » (PERRENOUD,1995,p.15)

Cette perception de la réalité scolaire se manifeste plus chez les lycéens que chez les collégiens de notre enquête. Ainsi, pour faire face aux contraintes des tâches scolaires, des lycéens nous ont avoués, à maintes reprises, qu’ils font parfois recours à la tricherie face aux examens, tout en connaissant qu’ils sont en train de prendre d’énormes risques. Certains nous ont signalés qu’ils prennent des cours particuliers à la maison ou des cours de rattrapage au lycée uniquement dans le but d’améliorer la note. A vrai dire, les élèves ne sont pas motivés par le désir du savoir. Ils développent un rapport stratégique à l’évaluation et ne travaillent que pour la note.

Au niveau des stratégies d’élèves face au système disciplinaire, nous citons l’exemple d’un élève de 2ème année secondaire qui a été renvoyé de dix jours. Il nous a déclarés : “J’ai été puni pour un acte que je n’ai pas commis. Face au conseil d’éducation j’ai fait semblant d’avouer pour ne pas dénoncer les collègues …Chaque fois il faut que quelqu’un paye. Cette fois c’était mon tour et je devrais être à la hauteur … ”. Nous pourrions déduire deux remarques relatives à ce témoignage. Tout d’abord, celui-ci exprime un exemple de solidarité qui semble être inconditionnelle entre adolescents. Cette forme de solidarité échappe bien à la logique formelle de l’institution et aux rationalisations des adultes. Ensuite, ce témoignage semble confirmer l’idée de Dubet(1991), selon laquelle les stratégies importantes se manifestent lorsque le système scolaire est caractérisé par une organisation faible, c’est-à-dire lorsque les institutions scolaires ont peu d’emprise directe sur la vie des jeunes en dehors des seules heures de cours et que l’identification à l’établissement est faible.

Au niveau relationnel, les stratégies d’élèves ne manquent pas. En effet, les lycéens nous ont parlé de leurs ami(e)s : « … qui tentent leurs chances avec les profs en utilisant la stratégie de la séduction » pour aller au-delà du rapport formel maître-élève et «  entamer des relations personnelles qui pourraient porter ses fruits à court et( ou) à long terme ». Autre témoignage exprimant l’idée de stratégie et manifestant une attitude de compromis, de calcul coût-bénéfice, est celui d’une bachelière de 21 ans : « le prof. de philo est misogyne, mais il n’est pas mal comme prof….. Pour réussir, je dois faire abstraction de son côté méchant et profiter le maximum de son savoir… ».

 

conclusion

Au terme de notre recherche, nous pouvons résumer les principaux résultats et les conclusions qui en découlent comme suit. Tout d’abord, les résultats de notre étude ont confirmé notre hypothèse de départ selon laquelle les élèves sont plus des acteurs sociaux producteurs de stratégies que des agents passifs subissant les contraintes scolaires. Concernant ces contraintes, nous avons découvert qu’elles se manifestent plus chez les collégiens que chez les lycéens. Pour ce qui est des stratégies d’élèves, nos résultats ont montré qu’elles sont essentiellement présentes chez les lycéens. Nous pourrions conclure, par conséquent, que plus les élèves avancent dans leurs études, plus leurs stratégies se manifestent et leurs expériences scolaires mûrissent. Nous constatons à cet égard la manifestation des attitudes d’adaptation, de compromis et de calcul coût-bénéfice. En effet, les lycéens sur lesquels a porté notre étude, plus que les collégiens, ont montré qu’ils sont des acteurs sociaux capables de déjouer les règles et de prendre des risques (tricherie aux examens ) de se servir de leurs atouts (le jeu de la séduction ), d’avoir un rapport stratégique à l’évaluation (travailler pour la note )

Enfin, l’ampleur des contraintes ressenties par les élèves de la 7ème année de l’école de base durant leurs premiers contacts avec le collège, nous amène à suggérer l’amélioration des activités d’accueil des élèves qui passent du primaire au collège. Nous suggérons également la mise en place de mécanismes de relais et de communication entre les deux cycles de l’école de base. Nous proposons la programmation de visites d’élèves de l’école primaire aux collèges. Ces visites auront pour but de préparer les écoliers à la vie scolaire au collège, tout en favorisant l’émergence de représentations d’avenir et de projets scolaires.

 

Mustapha Chikh Zaouali

Conseiller en Information et Orientation Scolaire et Universitaire

 À la DREF Mahdia, Ministère de l’éducation. Tunisie

Pour accéder  à la version Arabe cliquer ici

 

 

Bibliographie

- CHIKH ZAOUALI, M.(1998) : Les étudiants et leurs stratégies durant leurs cursus universitaires. Mémoire de D.E.S.S. en sciences de l’éducation-information et orientation scolaire et universitaire-. Directeur : Moncef HAJJI. Tunis : ISEFC. (non publié)

- DUBET, F.(1991) : Les lycéens, Paris : Seuil.

- LEGENDRE, R.(1993) : Dictionnaire actuel de l’éducation, 2ème édition Paris :Eskas ; Montréal :Guerin.

- PERRENOUD, Ph.(1995) : Métier d’élève et sens du travail scolaire, Paris : ESF.

-STAQUET ,C.(1999) : Accueillir les élèves, Une rentrée réussie et positive. Lyon : chronique sociale.



[1] L’organisation, comme fonction du système scolaire, est faible quand les institutions scolaires ont peu d’emprise directe sur la vie des jeunes en dehors des seules heures de cours et si l’identification à l’établissement est faible. La fonction sélective du système scolaire est forte quand le parcours de l’élève s’apparente à un long processus de triage, de classements, de choix de filières.(.Dubet, 1991,p32)

 

[2] Les Bureaux d’Ecoute et de Conseil(BEC) sont des permanences au sein des collèges et des lycées. Ces permanences de rythmicité variable sont assurées par :

-le conseiller en information et orientation scolaire et universitaire (ministère de l’éducation )

-le médecin scolaire de l’établissement ( ministère de la santé publique)

-l’assistant social de l’établissement (ministère des affaires sociales.)

-et tous ceux qui ont l’aptitude et la formation nécessaire pour assurer l’écoute, particulièrement des enseignants volontaires et motivés.

Les élèves demandent les entretiens d’une façon volontaire et spontanée. Ces entretiens font partie d’une relation d’aide et de conseil. Ils représentent aussi une source d’information riche sur les contraintes vécues par les élèves et nous renseignent sur leurs stratégies d’action.

L’expérience des BEC a débuté en Tunisie en octobre 1999 avec 108 établissements scolaires, puis le nombre s’est élevé à 164 établissements durant l’année scolaire 2000-2001. Pour l’année scolaire courante 2001-2002, il existe 183 BEC.

 

[3] Ce terme a été utilisé par (STAQUET ,C.,1999,p.11)

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