lundi 17 novembre 2014

Brève histoire du concours d'entrée en première année de l’enseignement secondaire : Première partie




 Avant propos
Dans le cadre de notre dossier sur le concours d’entrée en première année de l’enseignement secondaire (CEPES), nous entamons  cette semaine l’histoire de ce concours qui a accompagné les écoliers tunisiens durant un quart de siècle, nous avons pensé qu’il serait utile d’écrire l’histoire de cet examen qui fait partie de la mémoire de l’école tunisienne , ce travail est certainement imparfait, il a peut être omis d’évoquer certains aspects , c’est pour cette raison que nous demandons à nos collègues qui ont supervisé  ce concours au cours de leurs carrières de l’enrichir  , de le rectifier ou de le compléter par leurs témoignages et leurs remarques.



Introduction

Le concours d'entrée en première année de l’enseignement post- primaire[1], c'est à dire l'enseignement moyen et l'enseignement secondaire, plus connu sous le nom de Sixième, était un examen situé à la fin de la sixième année de l'école primaire.
 A quand remonte cet examen ? Quand et comment est-il arrivé dans notre pays ? Comment a-t-il évolué ? Pourquoi a-t-il disparu ?

  Présentation de la Sixième

Le concours de « la sixième » remonte à l’époque du protectorat français. Après l’indépendance, la première loi de l'éducation (loi 1958) l’a maintenu en tant qu’un mécanisme parmi les mécanismes d’évaluation dans l'enseignement primaire, jusqu’en juin 1994[2], lorsque les élèves de la sixième année primaire avaient passé le dernier concours d'entrée pour la première année de l'enseignement secondaire.

L’examen d’entrée en sixième à l’époque du protectorat français

l’examen  d'entrée pour la sixième année  fut mis en place par l’arrêté  de 1933[3]  qui «  institue  un examen  écrit ayant pour but  de fournir un élément uniforme d’appréciation aux commissions chargées d’établir la liste des élèves  justifiant d’une instruction suffisante pour être admis en classe de 6°  dans les établissements publics  d’enseignement  secondaire », au moment où on a décidé, en France, « de rendre progressivement gratuit l’accès aux classes de l’enseignement secondaire des lycées et collèges publics », alors que cet enseignement secondaire était payant, et donc inaccessible aux enfants du peuple[4] . Avec l’institution de cet examen, on a remplacé    « la " barrière de l’argent ", qui jusque-là, limitait l’accès à l’enseignement secondaire aux classes socialement favorisées ...  par une autre " barrière " (un examen d’entrée) »[5], car le lycée était pensé comme une « école de l’élite » réservé aux meilleurs ; ce caractère sélectif et élitiste fut l’une des caractéristiques de cet examen.  

Présentation de l’examen de sixième en Tunisie

L’ examen de sixième est un examen ouvert à tous les élèves , ceux des écoles publiques ( écoles franco- arabes, écoles françaises) ainsi qu’aux élèves des écoles privées âgés d’au moins 10  ans révolus, au 30 juin de l’année de l’examen, et  au plus 13 ans au 31 décembre de cette même année, pour les élèves qui postulent pour l’enseignement général, et de 12  ans révolus au moins et 16 ans maximum pour ceux qui postulent une place dans une section d’apprentissage d’un établissement d’enseignement technique ou professionnel. Une dispense d’une année est prévue dans certains cas.
a.  c’est un examen qui s’organise en une seule session annuelle  : l’examen de sixième se déroulait en une seule session  au mois de juin ;  néanmoins une session de rattrapage peut avoir lieu  au mois octobre ; celle-ci est réservée exclusivement  aux candidats qui n’ont pas pu se présenter à la session de juin pour une raison de force majeure,  reconnue valable  par le chef  d’établissement intéressé , sur présentation des pièces  justificatives ( certificat médical notamment).
Toutefois, si le nombre des candidats admis à la session de juin, dans un établissement donné, est inférieur au nombre des places disponibles, une nouvelle session est ouverte à tous en octobre dans cet établissement uniquement.
La réussite à cet examen[6]  permet l’entrée en classe de sixième classique, moderne ou technique des établissements publics secondaires, ou aux  cours complémentaires[7] d’enseignement général,  ou aux sections normales des collèges techniques, ou enfin  au collège Sadiki.

a.    Les épreuves de l’examen

Vers la fin des années quarante, les candidats avaient le choix entre trois groupes d’épreuves, selon le type d’enseignement qu’ils avaient suivis à l’école primaire, et le type d’enseignement qu’ils souhaitaient poursuivre au niveau secondaire :

Un premier groupe, destiné aux élèves provenant des écoles primaires françaises, qui comporte 3 épreuves : «  un compte rendu  de lecture d’un texte narratif d’une ou deux pages lu deux fois aux candidats, suivi d’une ou deux questions permettant d’apprécier la sensibilité, l’imagination et le jugement des élèves »[8]  , une dictée  de 10 lignes suivie de trois questions relatives à « l’intelligence du texte , au vocabulaire et à la nature et la fonction de quelques mots ou groupes de mots »[9],et une épreuve de calcul comprenant deux problèmes d’arithmétique. Toutes les épreuves sont réalisées entièrement en français.

Tableau : les épreuves des élèves des écoles primaires françaises pour la session de 1950

Les épreuves et leurs consistances
durée
Coefficient
Un compte rendu de lecture d’un texte narratif d’une ou deux pages, lu deux fois aux candidats. Cette épreuve sera complétée par une deux questions permettant d’apprécier la sensibilité, l’imagination et le jugement des élèves, cette deuxième partie ne doit pas excéder une dizaine de lignes
40mn( non compris le temps de lecture)
1.5
Une épreuve de langue française comprenant :
Une dictée de 10 lignes environ
3 questions portant sur cette dictée et relatives :
- à l’intelligence du texte
- au vocabulaire
- à la nature et fonction de quelques mots ou groupes de mots

40 mn
(non compris le temps de la dictée)

1.5
2
Une épreuve de calcul comprenant deux problèmes d’arithmétique dont le premier permettra plus spécialement de contrôler l’acquisition du mécanisme, et le second d’apprécier l’aptitude au raisonnement.
40mn
3
(1pour le 1° problème et 2 pour le 2°)
Une note d’écriture et de présentation sera attribuée sur une des compositions précédentes choisies par le jury à la fin de l’examen

0.5


Un deuxième groupe,  destiné  aux élèves des écoles primaires franco-arabes, qui comporte les mêmes  épreuves précédentes ( sans le résumé de texte français)[10] ,  une épreuve d’arabe arabe constituée « d’un exercice de voyellation d’un texte facile et concret de 10 à 12 lignes,  suivi de trois  questions portant sur la compréhension du texte, le vocabulaire et à la grammaire ». [11]

Tableau : les épreuves des élèves des écoles primaire franco-arabes (la session de 1950)

 En plus des mêmes épreuves précédentes, les élèves des écoles franco-arabes passent :
L’épreuve d’arabe suivante
Les épreuves (consistances)
durée
Coefficient
Une épreuve d’arabe régulier comportant :
Un exercice de voyellation d’un texte facile et concret de 10à 12 lignes environ
3 questions portant sur le texte et relatives :
- à l’intelligence du texte
- au vocabulaire
- à la grammaire

30 mn

30mn

1.5

2
Une note d’écriture et de présentation sera attribuée sur une des compositions précédentes choisies par le jury à la fin de l’examen

0.5


Un troisième  pour les élèves des écoles franco-arabes ,candidats à l'examen d'entrée en sixième tunisienne, ou  dans les classes du collège Sadiki ; l’examen  comprend : une rédaction française , une épreuve de langue française identique à l’épreuve du premier groupe, une épreuve de calcul ,une épreuve d’arabe ( la même que celle du deuxième groupe)  et une rédaction en langue  arabe.
Il ne faut pas manquer de remarquer que ce troisième était plus long et plus ardu que les deux autres groupes d’épreuves.

Tableau : les épreuves des élèves des écoles primaire franco arabes, candidats à l’examen d’entrée en sixième tunisienne ou dans les classes de sixième du collège Sadiki (session de 1950)

En plus des épreuves prévues pour le deuxième groupe, ces candidats doivent subir l’épreuve supplémentaire suivante :


Les épreuves (consistances)
durée
Coefficient
Une rédaction française sur un sujet facile et concret (description ou narration)
40mn
1.5
Une rédaction en langue arabe sur un sujet facile et concret (description ou narration)
40mn
1.5

 Nb : pour ces élèves, l’épreuve du compte-rendu de lecture est facultative, elle n’est obligatoire que pour ceux ou celles qui souhaiteraient rejoindre la 6ème classique ou moderne en cas d’échec dans la section tunisienne ou Sadikienne.

b.    Les conditions d’admission
L’examen d’entrée en 6° était, à cette époque, peut être  assimilé beaucoup plus à un concours qu’à un examen  où la réussite dépend des notes obtenues aux différentes épreuves ; il était plus proche  du concours sur épreuves et sur dossier puisque les candidats choisissent l’établissement où ils comptent poursuivre leurs études ( ils doivent faire 3 choix ) , et  les commissions  d’admissions étaient appelées à tenir compte des désirs des candidats et de trois autres facteurs , qui étaient:
-Le dossier du candidat et de tous les éléments d’appréciation  que lui fournissent le dossier :Classement de l’élève pour le premier trimestre et le deuxième trimestre de l’année en cours, ses notes et rangs obtenus en compositions, appréciations sur l’intelligence et les capacités de travail de l’enfant (renseignement fourni par le maître[12]), et éventuellement tout document susceptible d’éclairer la commission d’admission sur l’aptitude de l’enfant de faire des études secondaires ou techniques.
- Les résultats aux épreuves, mais celles- ci ne doivent pas être considérées comme les épreuves d’un examen ou d’un concours dans lequel il s’agirait d’atteindre une certaine moyenne, ou de se classer à un certain rang, mais comme un moyen d’appréciation qui permet de comparer des candidats de provenances diverses ; « les résultats ne doivent , en aucun cas, se substituer à l’étude de l’ensemble du dossier dont toutes les pièces doivent être prises en considération », donc obtenir la moyenne ou non n’est pas déterminant dans la réussite.
-Les places disponibles dans l’établissement qui sont établies en fonction de sa capacité, mais aussi des places que chaque établissement qu’il doit réserver aux élèves reçus au concours des bourses qui entrent de droit en 6°,  des places à réserver aux élèves admis à redoubler par le conseil de classe, et enfin du petit nombre de places  à réserver aux candidats à la session d’octobre[13] .
c.     Correction des épreuves et la délibération
Dans un premier temps, et jusqu’en 1950, chaque établissement secondaire (lycée ou collège) se transforme en centre de correction pour les copies des candidats qui postulaient une place dans cet établissement.
A l’issue des épreuves, chaque chef de  centre conserve les copies des candidats à l’entrée de son établissement...Il constitue ensuite une commission de notation et une commission d’admission,  composées, obligatoirement, par les membres de l’établissement : Les Directeurs  et Directrices des écoles primaires, les instituteurs et institutrices primaires, et un représentant des parents.
La correction se fait sous la supervision du chef de centre ; les noms des candidats doivent être scellés ; chacune des épreuves sont notées entre 0 et 20, après double correction.
 Après l’achèvement de la correction, la commission d’admission décachète les copies, les verse au dossier de chaque candidat, et dresse la liste des élèves admis selon la procédure décrite précédemment.  


Les délibérations de la commissions sont confidentielles ; les parents ne peuvent, ni accéder aux procès verbaux de l’examen, ni aux notes obtenues par leurs enfants ; néanmoins, les Directeurs des établissements sont autorisés à leur fournir des informations sur les causes de la non admissions de leurs enfants ; les parents ont toutefois la possibilité de présenter un recours auprès du Directeur de l’enseignement public par la voie du président du centre d’examen.[14]
Dès la session de 1950,[15]  il a été décidé de centraliser la correction dans 4 centres à Tunis qui sont :
- le collège Sadiki pour la correction des copies des garçons des épreuves d’arabe et la rédaction française, où siègent trois sous commissions (la 1° pour l’épreuve de voyellation et des questions, la 2° pour la rédaction arabe et la 3° pour la rédaction française)
- Le lycée Carnot pour la correction des copies des garçons où siègent trois sous commissions (la 1° pour la dictée et les questions, la 2° pour le compte rendu et la 3° pour le calcul)
- Le lycée de jeunes filles, pour la correction des copies des filles, où siègent 4 sous-commissions (la 1° pour la dictée et les questions, la 2° pour la rédaction française et le compte rendu et la 3° pour le calcul et la 4° pour les épreuves d’arabe)
- Le Collège Emile Loubet pour la correction des copies les candidats à l’enseignement technique où siègent 4 sous- commissions pour les garçons et autant pour les filles (la 1° pour la dictée et les questions, la 2° pour la rédaction française et le compte rendu, la 3° pour le calcul et la 4° pour les épreuves d’arabe)
d.    Bilan de cette période
Pour faire le bilan de cette période, il serait utile de distinguer deux niveaux : le niveau organisationnel et le niveau de la participation des élèves tunisiens.
 Sur le premier, le bilan est plutôt positif , car cette période peut être considérée comme une période de mise en place  d’une véritable institution, l’examen de sixième, importée de la France mais adaptée à la réalité tunisienne , avec une organisation minutieuse conçue par la direction de l’enseignement public qui s’est maintenue longtemps même après l’indépendance du pays.( d’ailleurs l’appellation « sixième » reste jusqu'à nos jours très répandue)
Sur le deuxième, le bilan de cette période reste très modeste ; l’accès à l’examen d’entrée en sixième était très difficile ; seule une élite de jeunes tunisiens, qui ne représentaient qu’une faible minorité, arrivaient à réussir cet examen et poursuivent ainsi les études post primaire ; leur nombre était resté très modeste jusqu’à l’indépendance.
 Pour l’année scolaire 1945 - 46, sur un total de 74799 élèves tunisiens poursuivant leurs études primaires dans les écoles publiques ou privées, seuls 1195 s’étaient présentés à l’examen d’entrée en sixième, 619 l’avaient réussi, cela représentait moins d’un élève sur100 (0.82%).
Annexe 2 : statistiques concernant l’examen de la sixième de 1’année scolaire 1945-1946

Garçons
Filles
Total

effectif
pourcentage
Effectif
pourcentage
Candidats
1071
89,62%
124
10,38%
1195
Admis
500
80,78%
119
19,22%
619
% admis
46,69%

95,97%

51,80%
 Source : Annuaire statistique, années 1940-1946


Huit années plus tard ( 1953),[16]  le taux a presque doublé ( 1.86%  avec 2309 admis sur 124071 élèves tunisiens inscrits dans les écoles publiques) ; mais ce taux est resté très faible si on le compare avec  celui des élèves français.
Statistiques des deux sessions de 1953

Garçon
Filles
total

présentés
admis
%
présentées
admises
%
présentés
admis
%
tunisiens
5682
1861
32,75%
1312
448
34,15%
6994
2309
33,01%
autres
2960
1259
42,53%
2119
947
44,69%
5079
2206
43,43%
total
8642
3120
36,10%
3431
1395
40,66%
12073
4515
37,40%
Part des tunisiens
65,75%
59,65%

38,24%
32,11%

57,93%
51,14%

Source : bulletin officielle de la Direction de l’instruction publique n° 13 octobre, novembre, décembre 1953 p.46 ;

Si le taux de réussite des élèves tunisiens était proche du taux de réussite global, cela ne doit pas nous cacher la faible proportion des tunisiens qui décrochent le sésame qui leur ouvre les portes de l’enseignement secondaire.
 Statistiques concernant la participation des tunisiens à l’examen de l’entrée en 6ème
Année
présentés
reçus
Taux de réussite
1946
984
472
47,97%
1950
2818
1123
39,85%
1951
4461
1140
25,55%
1952
5550
1532
27,60%
1953
6994
2309
33,01%
1954
8249
1781
21,59%

Source : Ayachi .M, Enseignement néo colonialiste.



Hédi Bouhouch & Mongi Akrout, Inspecteurs généraux de l’éducation
Tunis, Novembre 2014

Est-il utile de ressusciter le concours de la sixième?










[1] Nous utilisons le terme post primaire car , l’enseignement qui vient après l’école primaire a changé plusieurs fois de nom au cours de l’histoire de l’école tunisienne : à l’époque du protectorat il y avait l’enseignement secondaire, les cours complémentaires d’enseignement général,  les collèges techniques, la section  Sadikienne, la loi de 58 il y avait l’enseignement secondaire et l’enseignement moyen , remplacer depuis 1968 par l’enseignement professionnel, enfin avec la réforme de 91 on a le deuxième degré de l’enseignement de base
[2] Rapport sur évolution éducative en Tunisie1992-1994 ; rapport à la conférence mondiale sur l’éducation, 44 session ; Genève 3-8 octobre 1994, la commission nationale tunisienne de l’éducation, des sciences et de la culture.

[3] Arrêté  du 1 septembre 1933 «  institue  un examen  écrit ayant pour but  de fournir un élément uniforme d’appréciation aux commissions chargées d’établir la liste des élèves  justifiant d’une instruction suffisante pour être admis en classe de 6°  dans les établissements publics  d’enseignement  secondaire » du 1° septembre 1933 et du 13 février 1934)
[4] Quelques rares élèves chanceux triés sur le volet par des concours de bourses difficiles  boursiers peuvent dépasser la barrière matérielle
[6] Circulaire du 14 Mars 1950  du directeur de l’instruction publique, Bulletin officiel de la direction de l’instruction publique n°1 .Janvier- février – Mars 1950
[7] Les cours complémentaires ( CC) étaient ,d’après le décret et l'arrêté du 18 août 1920, des établissements intermédiaires entre l'école primaire et l'école primaire supérieure, L'enseignement était, de  deux années en principe, portées cependant à trois ou quatre " pour ceux qui se destinent à des fonctions administratives et notamment à la carrière d'enseignement". Il est de même niveau que le premier cycle du second degré les CC mènent leurs meilleurs élèves au Brevet Elémentaire (BE), puis au Brevet d'Etudes Primaires Supérieures (BEPS). Ils s'allongent d'une année, pour finalement s'aligner sur la scolarité de quatre années des EPS. Les cours complémentaires restent des structures très souples : les plus importants avaient quatre classes distinctes, les plus petits une seule, où coexistait des élèves des quatre années.
 http://www.berthomeau.com/article-6562953.html
[8] Circulaire du 14 mars 1950 relative à l’examen d’entrée en 6° en 1950 ; Bulletin officiel de la direction de l’instruction publique N°1, Janvier, février, mars 1950
[9] Opt. Cit.
[10] Cette dispense ne s’applique pas aux candidats qui souhaiteraient rejoindre la sixième classique, moderne ou technique des collèges ou des lycées au  cas où  ils ne  sont pas reçus dans la section tunisienne ou sadikienne.

[11] Opt. Cit.
[12] Les appréciations portées par les maîtres … sont confidentielles ; elles ne doivent pas être communiquées aux familles. Les signatures des maîtres et des maîtresses qui n’appartiennent pas à l’enseignement public doivent être certifiées exactes par un directeur d’établissement libre, ou légalisés par les autorités compétentes 
[13]  Cette session est ouverte pour les élèves qui ont eu un empêchement de force majeure  de se présenter à la session  de juin.
[14] Articles 15 et 16 de l’arrêté  du 14 janvier 1947 relatif à l’examen d’entrée en 6ème des établissements secondaires publics, des cours complémentaires de l’enseignement général, de la section des écoles normales des instituteurs et des collèges techniques.
[15] Instructions  du 2 juin 1950 relatives à la correction des copies  de l’examen  d’entrée en sixième, BODIP n°3 , avril -septembre 1950
[16] Source Bulletin officiel de la direction de l’instruction publique n° 13 octobre novembre décembre 1953 p46

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