Hédi Bouhouch |
Cette note s’intéresse à la période qui correspond au passage du Professeur Moncer
Rouissi au ministère de l’éducation et de la formation entre le 25 janvier 2000
et le 25 août 2003 .
Il semble que l’apparition de nouvelles
approches pédagogiques , l’intérêt porté aux grands projets éducatifs et le
désir de placer le système éducatif tunisien sur la voie des systèmes éducatifs connus par l’efficacité de leur rendement et la qualité de leurs output , ont
été parmi les facteurs qui accélérer la décision de remplacer la loi de
l’enseignement de 1991 ( dix ans seulement après sa promulgation)[1] et qui n'a été modifiée
qu'un fois[2] par une nouvelle loi qui a
essayé de s’adapter aux grandes mutations
auxquelles est confronté le système éducatif tunisien au niveau de
l’enseignement secondaire.