Nous
avons entamé la semaine passée la présentation du débat autour de la question
de l’enseignement des tunisiens sous le protectorat, nous avons consacré la première partie à la vision du parti des colons qui a défendu le principe de la
séparation entre l’élément européen et l’élément indigène musulman, dans cette
deuxième partie nous présentons les
positions de deux français , la première défendu par le représentant des colons
français d’Algérie soutient la vision de De Carnières , la deuxième, défendue par
un ancien fonctionnaire français au Sénégal, est opposée à celle-ci.
Nous avons voulu faire de ce blog un espace pour accueillir des témoignages à propos de l’école tunisienne et pour évoquer les défis présents et futurs de l’éducation en Tunisie
dimanche 22 février 2015
dimanche 15 février 2015
Discussion générale sur l’enseignement primaire des indigènes tunisiens au congrès de l'Afrique du nord : première partie
Au cours
de la première décennie du XXème siècle,
la question de l'enseignement des Tunisiens dont le pays vivait sous le régime du
protectorat français est devenue l’une des questions les plus importantes, elle
fut soulevée par l'élite tunisienne formée au collège Sadiki ou à l'école française, ou l’école franco-arabe, ou
encore l'école Alaoui c'est-à-dire à l’école normales des instituteurs,
dimanche 8 février 2015
L’école rue du Pacha, première école moderne de filles tunisiennes : Deuxième partie
Nous
poursuivons cette semaine la présentation
de la première école moderne pour
« les filles musulmanes tunisiennes », connue aujourd'hui sous le nom
du" lycée rue El Pacha", à
Tunis.
Après avoir présenté brièvement, la semaine passée, le contexte général qui a vu naître cette institution, nous analysons
dans cette deuxième partie les péripéties de l’école et sa contribution dans le développement de l'éducation des filles tunisiennes.
dimanche 1 février 2015
L’école rue du Pacha, première école moderne de filles tunisiennes : Première Partie
Avant-propos
Malgré
les réformes successives du système éducatif, en
Tunisie, avant l’instauration du protectorat français, telles que la réforme de l’enseignement Zitounien qui était l’enseignement dominant, ou
la création du collège Sadiki qui était une synthèse intelligente entre les traditions culturelles
arabo-islamiques et l'enseignement moderne européen, la jeune fille musulmane tunisienne
n'a pas eu sa part dans toutes ces réformes, jusqu’à la fondation, en 1900, d’une
école moderne pour « les filles musulmanes tunisiennes »[1],
connue aujourd'hui sous le nom du" lycée rue Al Pacha", à Tunis.
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