dimanche 22 février 2015

Discussion générale : L'enseignement primaire des indigènes tunisiens : Deuxième partie


Nous avons entamé la semaine passée la présentation du débat autour de la question de l’enseignement des tunisiens sous le protectorat, nous avons consacré la première partie à la vision du parti des colons qui a défendu le principe de la séparation entre l’élément européen et l’élément indigène musulman, dans cette deuxième partie nous présentons les  positions  de  deux français , la première  défendu par le représentant des colons français d’Algérie soutient la vision de De Carnières , la deuxième, défendue par un ancien fonctionnaire français au Sénégal,  est opposée à celle-ci.

dimanche 15 février 2015

Discussion générale sur l’enseignement primaire des indigènes tunisiens au congrès de l'Afrique du nord : première partie



Au cours de la première décennie du XXème  siècle, la question de l'enseignement des Tunisiens  dont le pays vivait sous le régime du protectorat français est devenue l’une des questions les plus importantes, elle fut   soulevée par l'élite tunisienne  formée au collège Sadiki ou  à l'école française, ou l’école franco-arabe, ou encore l'école Alaoui c'est-à-dire à l’école normales des instituteurs,

dimanche 8 février 2015

L’école rue du Pacha, première école moderne de filles tunisiennes : Deuxième partie




Nous poursuivons cette semaine la présentation  de la première  école moderne pour « les filles musulmanes tunisiennes », connue aujourd'hui sous le nom du" lycée  rue El Pacha", à Tunis.
 Après avoir présenté brièvement, la semaine passée, le contexte général qui a vu naître cette institution, nous analysons dans cette deuxième partie les péripéties de l’école et sa contribution dans  le développement de l'éducation des filles tunisiennes.

dimanche 1 février 2015

L’école rue du Pacha, première école moderne de filles tunisiennes : Première Partie



Avant-propos

Malgré les réformes successives du système éducatif,  en Tunisie, avant  l’instauration  du protectorat français, telles  que la réforme de l’enseignement  Zitounien qui était l’enseignement dominant, ou la création du collège Sadiki qui était une synthèse  intelligente entre les traditions culturelles arabo-islamiques et l'enseignement  moderne européen, la jeune fille musulmane tunisienne n'a pas eu  sa part  dans toutes ces  réformes, jusqu’à la fondation, en 1900, d’une école moderne pour « les filles musulmanes tunisiennes »[1], connue aujourd'hui sous le nom du" lycée  rue Al Pacha", à Tunis.