Nous clôturons cette semaine l’étude de
la période des années quatre vingt par la présentation des principales mesures et les évolutions qu’avaient connues la scène éducative à la
fin de la décennie ( depuis 1987), et surtout l’aboutissement des travaux de réflexion
et la préparation de la loi d’orientation en 1988 qui a préparé la voie à la
loi de 1991.
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III.
Les préparatifs pour la réforme de 1991
1.
Mohamed Sayah lance une vaste opération
d’évaluation du système et ouvre la voie à la réforme et constitue des
commissions d’études
Depuis la nomination de Mohamed Sayah au
ministère de l’éducation et de l’enseignement supérieur, avec le rang de
Ministre d’état en mai 1987 , les efforts du ministère s’étaient dirigés vers
une opération de diagnostic de l’état du système éducatif pour identifier ses
principales défaillances à tous les niveaux ; pour effectuer cette tâche ,
le Ministre a constitué six (6) commissions de réflexion et d’étude au cours
d’une réunion tenue le premier octobre 1987[1] , chaque commission fut chargée
d’une question comme l’indique le tableau suivant :
Les six commissions et leur centre
d’intérêt
le responsable
|
Le centre d’intérêt
|
commission
|
La direction des programmes
|
Evaluation de l’expérience de la 7ème
et de la 8ème année
|
N°1
|
La direction des programmes, présidée par le
professeur Med Annabi professeur d’enseignement supérieur,
démarrage des travaux lé 7/11/87, fin des travaux fin juin 1988
|
les programmes des sciences physiques
et de la technologie au premier cycle
de l’enseignement secondaire
|
N°2
|
le directeur de l’enseignement
secondaire, fin des travaux fin décembre 1987
|
l’orientation de la fin du 1er
cycle
|
N°3
|
la direction de l’enseignement
primaire , l’évaluation sera faite par l’INSE au cours de l’année
|
l’expérience de l’initiation aux
travaux manuels à l’école primaire
|
N°4
|
les projets du 7ème plan
|
N°5
|
|
le devenir des collèges professionnels
et la manière de gérer leurs matériels[2] après la décision de la
suppression de l’enseignement professionnel
|
N°6
|
La réflexion portait essentiellement
sur :
-
les projets en cours d’exécution qui visaient à
combattre le redoublement et le décrochage au niveau de l’école primaire ;
-
le système d’orientation à la fin du tronc commun de
l’enseignement secondaire.
-
L’expérience de l’introduction de l’enseignement des
sciences physiques et de la technologie dès le 1er cycle dans les
lycées pilotes.
-
La manière de gérer les conséquences de la décision de
la suppression de l’enseignement professionnel, prise par le conseil des ministres
en octobre 1978 le matériel et surtout penser aux moyens de réutiliser
l’important matériel qui se trouvait
dans les collèges professionnels, surtout que l’acquisition de ce matériel
s’est faite dans le cadre d’un accord entre le gouvernement tunisien et la
banque Africaine de développement qui a financé les acquisitions de ce matériel.
Mais ces commissions n’ont pas eu le
temps de commencer leurs travaux, la destitution du président Bourguiba et
l’arrivée de Zine Al Abidine Ben Ali et la constitution d’un nouveau
gouvernement dirigé par Hédi Baccouche avaient mis fin à ces commissions.
2.
La période 1987 -1989 : poursuite
de la réflexion sur les grandes questions de l’éducation et la question de la
préparation d’une nouvelle loi.
a.
Le début de la réflexion sur une nouvelle loi de l’éducation : en réalité , l’idée de promulguer une
nouvelle loi remonte au mois de Mai 1987 avec le Ministre Sayeh, car la loi en
vigueur ( loi de 1958) n’était plus adaptée à la réalité et à l’évolution du
système éducatif, c’est dans ce cadre qu’une commission présidée par le
secrétaire d’état Mde Hédi Khelil et comprenant deux juristes Sadok Belaid et Béchir Takkari fut chargée de
préparer une nouvelle loi , la commission a poursuivi ses travaux jusqu’au mois
de janvier 1989[3]
b.
Le Ministre Chelly lance le projet de la nouvelle loi
éducative
Dès les premiers mois de son
installation , le nouveau ministre de l’éducation et de l’enseignement
supérieur, le 7 novembre 1987 et ses deux secrétaires d’état, ont décidé de reprendre les questions
soulevées par le gouvernement précédent ; les nouveaux responsables avaient conclu qu’il
était nécessaire de préparer une nouvelle loi pour remplacer la loi de 1958 qui
était encore en vigueur alors qu’elle n’était plus conforme à la réalité de
l’école , après les multiples aménagements et modifications qui avaient touché
les finalités du système , les grandes orientations des programmes , la
structure de l’enseignement , les sections…
Dès le mois de janvier 1988 , les
commissions de réflexion reprennent leurs travaux qui ont abouti à la rédaction
d’un document de synthèse qui avait recommandé l’organisation d’une large
consultation sur les grandes orientations de la future réforme éducative , une
réunion , présidée par le secrétaire d’état Hédi Khlil le 17 février , a été consacré à la
préparation de l’organisation de la consultation .
Une deuxième réunion eut lieu le 23
février 1988 présidé par le ministre Tijani Chelly au cours de laquelle , il
annonce clairement les motifs de la réforme du système , disant à ce propos :
« la question de la réforme est d’une importance pour l’avenir de la
collectivité nationale… qu’il est anormal qu’il subsiste encore quelques
aspects négatifs alors que le pays a accédé à l’indépendance voila déjà quelque
temps ,il est temps de réfléchir sérieusement
à l’avenir ce secteur sensible, et de revoir son organisation pour le
réformer et lui donner plus d’efficacité » .
Le ministre a déclaré que la réforme du
système éducatif est l’une des priorités du nouveau gouvernement ,elle est
aussi l’une des questions qui préoccupe l’opinion publique nationale , c’est la
raison pour laquelle son département a la volonté de préparer un projet de loi cadre qui
remplacerait la loi de 1958[4] , « car le texte
de 58 est largement dépassé par la réalité
et sa révision est devenue une nécessité , elle doit se faire en tenant
compte des nouveaux défis que rencontrent notre pays » [5] , le ministre présenta
ensuite les grandes finalités de la nouvelle loi , qui doit, d’après lui:
-
Réduire le nombre de défaillants au niveau des deux
cycles primaire et secondaire ;
-
Assurer la scolarisation de tous les enfants jusqu’à
l’âge de 15 ou 16 ans pour éradiquer l’analphabétisme ;
-
Relever le niveau de l’enseignement tunisien.
« Ce sont ces finalités qui nous
ont poussé à penser à mettre en place le système de l’école de base en dépit du
coût très élevé que devrait supporter la collectivité nationale »
c.
Chelly lance une consultation au sujet
du projet de réforme
La
commission de réflexion sur la nouvelle loi a préparé un document pour encadrer
et guider la consultation, ce document comporte :
-
les grands principes de la réforme et ses moyens,
l’idée était d’élaborer une loi d’orientation qui précise les principes
fondamentaux de la réforme, qui seront complétés par des textes d’application (décrets
et arrêtés).
-
Sept axes principaux : la structure du système du
point de vue administratif - la mise en
place de l’école de base - la rénovation de l’enseignement secondaire et du
baccalauréat - les conditions d’accès à
l’enseignement supérieur et ses différentes filières - la recherche
scientifique - le cadre enseignant - l’enseignement privé - le financement du
système éducatif. (voir les détails dans le tableau suivant)
les axes
|
libellés
|
les orientations
|
1
|
la structure du système éducatif sur
le plan administratif
|
la mission du ministère est la
conception, la coordination et le contrôle / création d’un conseil
national de l’éducation et de la recherche scientifique , avec une fonction
consultative surtout au niveau de la conception / création de structures
administratives décentralisées ( des universités et des académies pour l’enseignement
scolaire) .
|
2
|
l’école de base
|
c’est le premier niveau de
l’enseignement qui dure 9 ans, sa mission est de remédier aux insuffisances
du système actuel qui n’a pas donné des solutions aux élèves qui ne
réussissent pas au concours d’entrée en 1ère année de
l’enseignement secondaire, la mise en place se fera progressivement , à la
fin de l’école de base , l’élève serait orienté selon ses résultats et ses
mérites , soit vers l’enseignement secondaire , soit vers l’enseignement
professionnel, l’élève qui n’achèverait pas l’école de base sera orienté vers
l’apprentissage professionnel.
|
3
|
l’enseignement secondaire et l’examen
du baccalauréat
|
c’est le deuxième niveau (
l’équivalent du deuxième cycle de l’enseignement secondaire de l’époque),
il comporte deux sections ( la section
générale et la section technique), avec la possibilité de réfléchir à une
troisième section professionnelle .
la section générale comporte deux
cycles , le premier assure une formation générale le deuxième est un cycle de
spécialisation, la section technique associe
la formation spécialisée à la formation en sciences humaines et en langue.
Le baccalauréat est un diplôme de fin
d’études secondaire qui donne accès à l’enseignement supérieur selon des
modalités données.
les élèves qui ne réussissent pas cet
examen auront la possibilité de suivre une formation spécifique pour
faciliter leur insertion dans le marché de l’emploi.
|
4
|
l’enseignement supérieur et la
recherche scientifique
|
création d’une année préparatoire qui permet à l’étudiant, selon ses moyens
et ses aptitudes, de rejoindre l’enseignement supérieur long qui aboutit au troisième cycle ,ou de poursuivre ses études dans un cycle
court.
avec la possibilité d’accéder en fin
du cycle à l’enseignement supérieur long,- l’importance du 3ème
cycle dans la formation de cadres , d’enseignants et de chercheurs-
renforcement de la recherche scientifique.
|
5
|
le cadre enseignant
|
la nouvelle loi doit contenir des mesures qui concerne le cadre enseignant(
la formation continue, un système d’évaluation du parcours professionnel, révision des conditions du recrutement, fixer les règles
déontologique de la profession)
|
6
|
l’enseignement privé
|
revoir son rôle et sa participation
dans la réalisation des finalités du système éducatif et la révision les
conditions relatives à ce secteur
|
7
|
le financement du système éducatif
|
Bien que la scolarité soit gratuite à
l’école de base, la réforme du système éducatif nécessite de trouver un cadre
juridique pour mobiliser les moyens supplémentaires dans le respect du
principe de la justice sociale
|
d.
Les axes de la consultation et son organisation
Au cours d’une réunion avec les
responsables du ministère consacré à la préparation du lancement de la
consultation, le ministre a insisté sur son importance dans le processus de
l’évaluation et de la réforme, il attend qu’elle lui donne une idée sur les
positions des différentes parties sur les questions suivantes :
-
La mise en place de l’école de base (avec La
possibilité d’utiliser le rapport de l’école de demain et la nécessité
d’adopter une démarche souple et progressive au niveau de l’application) et les
modalités de passage pour le cycle suivant (le cycle secondaire) ;
-
La durée du tronc commun et les mécanismes de
l’orientation
-
La diversification du baccalauréat
-
L’organisation d’une année préparatoire après le
baccalauréat et les modalités d’accès à l’enseignement supérieur ;
-
L’encouragement du secteur privé et la révision de son
rôle ;
-
la question de l’arabisation des matières
scientifiques au secondaire et la place de la langue française dans le système
éducatif tunisien
-
Le financement du système éducatif[6]
A la fin de la réunion, le ministre a
annoncé que « la consultation
aura lieu durant le mois de mars 1988, ce sera une large consultation qui
touchera toutes les parties qui sont intéressées par la question éducative,
sachant que certaines composantes de la société civile vont organiser à leur
tour la consultation au sein de leurs propres structures.
Quant à la consultation réservée au
corps enseignant, une stratégie et un
calendrier furent arrêtés, la
consultation doit partir de l’école primaire et du lycée selon une démarche pyramidale
(école primaire puis la circonscription, puis la délégation régionale );
pour le secondaire la consultation doit partir du lycée pour remonter jusqu’à
la direction régionale de l’enseignement secondaire) ; les propositions
des écoles et des lycées devraient être synthétisées à la fin du mois de mars ,
les régions doivent remettre leur rapport le 15 avril 1988.
e.
Mohamed Hédi Khlil poursuit l’action
Le remaniement ministériel du 11 avril
1988 qui a entrainé le départ de Tijani Chelly et la promotion de son
secrétaire d’état Mohamed Hédi Khlil et
le scindement du ministère en deux
départements (l’un pour l’éducation nationale, l’autre pour l’enseignement
supérieur) n’a pas arrêté le processus :
§ le travail de réflexion s’est poursuivi
, la consultation ne fut pas une vaine opération , le nouveau ministre avait
poursuivi le travail qui a été entamé alors qu’il était secrétaire d’état, en
juin 1988 ,le projet de loi était fin
prêt, il fut soumis au premier congrès du parti au pouvoir en juillet 1988 qui
l’adopta, puis il fut approuvé par le conseil des ministres avant d’être soumis
au conseil économique et social et puis présenté au conseil supérieur de
l’éducation le 6 janvier 1989, seulement le gouvernement n’a pas transmis le projet au parlement pour son
adoption pour des raisons qui sont restés mystérieuses , le 3ème
remaniement ministériel et l’arrivée de
Feu Mohamed Charfi finit par classer le
projet.
§ La mise en place de l’école de base de
neuf ans, progressivement à partir de la rentrée 1989/1990 avec de nouveau programmes
et de nouveaux manuels, surtout après avoir réussi à convaincre la Banque
Mondiale de financer le projet , par un
prêt de 90 millions de dinars .
§ Le démarrage de l’analyse des programmes
scolaires de plusieurs disciplines comme la langue arabe, l’histoire, la
géographie, l’éducation islamique dans le cadre de commissions permanentes
créées au sein de la direction générale des programmes et de la formation
continue, il s’agit des commissions sectorielles :[7]
-
Ce sont des commissions consultatives dont « les membres sont nommés par le
ministre de l’éducation pour deux ans et formés par des enseignants, de membres
du personnels d’encadrement pédagogiques représentant les trois cycles
d’enseignement et des représentants des différents secteurs et institutions
nationales concernées par des programmes de la commission » art 3 ;
de chaque commission peuvent « émaner des sous commissions spécialisées
chargées de réaliser des tâches
techniques comprenant des membres qui ne font partie de la commission
sectorielle » art 4.
-
Les commissions sectorielles seront chargées de
réfléchir sur les contenus des programmes
des deux cycles de l’école de base et de l’enseignement secondaire , et de proposer les réformes à même de permettre
aux contenus de ces programmes d’être au diapason de l’évolution des savoirs et
des méthodes d’enseignement , la
commission est aussi appelé à proposé les plans de formation adaptés pour
mettre à jour les savoirs des enseignants et
renouveler leurs méthodes de travail et améliorer leurs performances.
Conclusion
Les années quatre vingt furent au début une période difficile d’attente et de doute
sur l’avenir politique et économique du pays , sur le secteur éducatif , c’était
une période de réflexion et de travail
sur de grands dossiers et les aspects de défaillance du système ( échec scolaire, décrochage,
baisse du niveau, inadéquation entre la formation et les besoins de l’économie…)
, le travail de réflexion avait amené les responsables à conclure que les objectifs
fixés étaient loin d’être réalisés et
qu’il était nécessaire de redonner vie
au système en adoptant une nouvelle réforme éducative à même de répondre aux défis de l’étape et de sauver l’école
tunisienne d’où le projet de l’école de
base qui a été au centre des préoccupations de toutes les commissions de réflexion de 1982
à 1989 , et qui n’attendait qu’un ministre
doté d’une vision et d’une volonté de réforme réelle.
Hédi Bouhouch & Mongi Akrout ,
Inspecteurs généraux retraités
Tunis ; octobre 2015
Cliquer ici pour accéder à la version arabe
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L’histoire des
réformes scolaires en Tunisie depuis l’indépendance : CHAPITRE 4 : Les réformes
des années soixante- dix et le début des années quatre-vingt ( partie 1)
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L’histoire des réformes scolaires en
Tunisie depuis l’indépendance : CHAPITRE 4 : Les réformes des années soixante-
dix et le début des années quatre-vingt ( partie 2)
L’histoire des réformes scolaires en
Tunisie depuis l’indépendance : CHAPITRE 4 : Les réformes des années soixante-
dix et le début des années quatre-vingt ( partie 3)
L’histoire des réformes scolaires en
Tunisie depuis l’indépendance : CHAPITRE 4 : Les réformes des années soixante-
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Les réformes scolaires depuis l’indépendance : Lescommissions permanentes : orientations et recommandations Partie 1
Les réformes scolaires depuisl’indépendance : Les commissions permanentes : orientations et recommandationsPartie 2
Les grandes orientations pour la
réforme du système éducatif tunisien, janvier 1988
http://bouhouchakrout.blogspot.com/2016/03/les-grandes-orientations-pour-la.html
L’enseignement tunisien entre leprésent et l’avenir » par Abou al Kacem Mohamed Kerrou
http://bouhouchakrout.blogspot.com/2016/04/les-grandes-reformes-scolaire-depuis.html
http://bouhouchakrout.blogspot.com/2016/04/partie-v-les-annees-quatre-vingtla-fin.html
[1] Le ministre a présidé plusieurs réunion d’évaluation, mais les
informations sur cette période sont très réduites, nous avons tiré nos principales informations de PV de réunions du cabinet du
ministère pour la période allant du mois
d’octobre 1987 au mois de Mars 1987.
[2] La sixième
commission a été ajoutée au cours de la
réunion du cabinet le 24 octobre 1987.
[3] Ces informations nous ont été données par M°
Mde Hédi Khelil ( févriet 2016)
[4] Opt cité , l’introduction du document de la consultation , paraphée par le
professeur Tijani Chelly
[6] Document sur les grandes
orientations de la réforme du système éducatif, janvier 1998 .La première
page destinée aux personnes concernées par la consultation est signée par le
ministre Tijani Chelly.
[7] Arrête du ministre de
l’éducation nationale du 27 janvier 1989 relatif à la création de commissions
sectorielles permanentes pour étudier
les programmes et les moyens
d’enseignement. JORT N° 9 du 7 février 1898.
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